Pour le patient, l’ETP se concrétise par l’acquisition et la mise en œuvre de deux champs de compétences : celui des auto-soins (réaliser des techniques de soins, repérer des signes de gravité, prendre des décisions devant un résultat biologique) et celui de l’adaptation à la maladie (exprimer des besoins, communiquer avec son entourage, travailler sur ses attitudes relatives à sa santé).
Car soigner, c’est miser sur l’intelligence et l’expérience sensible du patient. Mais on dispose de suffisamment de preuves de l’efficacité de l’ETP pour stabiliser/améliorer des paramètres biologiques, éviter et retarder l’apparition de complications, limiter le recours aux urgences et aux hospitalisations, augmenter les compétences des patients, leur confiance en eux…
Il faut désormais penser « efficience » et explorer les manières de procéder les plus utiles selon un moindre coût. Pas seulement l’aspect financier, mais aussi les temps dédiés, les charges cognitives, émotionnelles que l’éducation provoque. »
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« Il faut désormais penser à l’efficience de l’ETP »
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