Environ 10 % de transplantés rénaux au CHU de Bordeaux ont fait un diabète après transplantation, dont la prise en charge reste discutée. La plupart (74 %) ont été mis précocement sous insulinothérapie. Cette stratégie est-elle payante à 1 an ? Pas vraiment. Cette insulinothérapie précoce n’a pas modulé les chances de sevrage à l’insuline à 1 an. Mais des facteurs prédictifs se dessinent. Les patients en surpoids 6 mois après la greffe ont moins de chance de pouvoir se passer d’insuline. Ceux qui restent sous insulinothérapie ont un syndrome métabolique plus marqué et un moins bon équilibre glycémique.
Transplantation rénale
Pas mieux avec l’insuline
Publié le 23/04/2018
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Source : Le Quotidien du médecin: 9659
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