Une analyse post-hoc de deux études de phase 3 menée chez 11 000 femmes ménopausées atteintes d'ostéoporose et d'insuffisance rénale (IR) légère à modérée, a montré sous romosozumab des gains de densité minérale osseuse significatifs et une réduction du risque de nouvelles fractures vertébrales (FV) par rapport aux bras contrôle, pour trois niveaux de fonction rénale. Dans l’étude ARCH (n = 4 093), l'incidence au 12e mois de nouvelles FV sous romosozumab, versus alendronate, était de 3,3 % vs 7,3 % en cas de fonction rénale normale, 3,2 % vs 3,9 % en cas d’IR légère et 3,4 % vs 6,2 % lors d’IR modérée. Dans l’étude FRAME (n = 7 180), elle était sous romosozumab, versus placebo, respectivement de 0,5 % vs 3,0 %, 0,4 % vs 1,5 % et 0,6 % vs 2,1. L'incidence des effets indésirables était, pour chaque étude, similaire dans les deux bras quelle que soit la fonction rénale.
Miller P. et al, Abstr OP 0297
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