Apparue en même temps que le DES de Médecine Générale, la Filière Universitaire de Médecine Générale (FUMG) est encore trop souvent sous-exploitée. Pourtant, c’est un domaine attractif puisqu’une précédente enquête de l’ISNAR-IMG, en 2011, révélait que 14,7 % des répondants envisageaient une carrière universitaire comme chef de clinique, maître de conférences ou professeur des universités.
Aujourd’hui, la formation à la recherche en médecine générale se fait presque exclusivement au cours du 3e cycle. Mais, parmi les IMG qui ont validé leurs six semestres, seuls 15,3 % déclarent avoir été sensibilisés au recueil des données en cabinet, 25,5 % à la classification en MG, 32,4 % ont une connaissance des champs de la recherche en MG et 28,5 % ont participé à des travaux de recherche en MG. Des proportions insuffisantes pour l’ISNAR. D’autant que ces moyennes cachent de grandes disparités entre les villes de subdivision, avec un écart d’au moins 25 % entre la ville la plus performante et la moins performante pour chacun des 4 items.
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