18 décembre
« Mandela : un long chemin vers la liberté », de Justin Chadwick, biographie - De l’enfance à la présidence, la vie de Nelson Mandela, d’après ses mémoires publiés en 1994, avec le Britannique Idris Elba.
« Suzanne », de Katell Quillévéré, récit d’un destin - Vingt-cinq ans de la vie d’une femme et de ses proches, entre réalisme et romanesque, avec Sara Forestier et François Damiens.
« 16 ans ou presque », premier film de Tristan Séguéla, comédie pour ados et adulescents : Laurent Lafitte en avocat et philosophe sérieux de 36 ans victime d’un syndrome rare de puberté tardive et qui se retrouve à faire la bringue avec son frère de 16 ans
« Angélique », d’Ariel Zeitoun, cape, épée et romance - Près de quatre décennies après la version de Bernard Borderie, une nouvelle adaptation du roman d’Anne et Serge Goron dont la première, à 91 ans, se déclare beaucoup plus satisfaite. Nora Arnezeder et Gérard Lanvin en lieu et place de Michèle Mercier et Robert Hossein.
« Belle et Sébastien », de Nicolas Vanier, film familial - Un enfant solitaire, un chien sauvage, la guerre et l’occupation allemande, dans la neige des Alpes, d’après la série télé créée dans les années 1960 par Cécile Aubry.
« Loulou - L’Incroyable secret », d’Éric Omond, animation – D’après les livres de Grégoire Solotareff, avec un loup et un lapin qui n’ont jamais vu leurs congénères et ne savent donc pas qu’ils devraient être ennemis.
« Sur la terre des dinosaures », animation - Il y a 70 millions d’années, les aventures, en 3D, du jeune Patchi, de son frère et de son amie, séparés de leur horde lors de la grande migration.
25 décembre
« Le Loup de Wall Street », de Martin Scorsese, biographie - Leonardo DiCaprio, qui voit en lui « un Caligula moderne », incarne Jordan Belfort, un golden boy de Wall Street que ses frasques et ses addictions envoyèrent en prison, dans les années 1990 et qui l’a raconté dans un livre, ici adapté en trois heures. Avec aussi, entre autres, Jean Dujardin, en banquier suisse grand blanchisseur de dollars.
« Albator, corsaire de l’espace », de Leiji Matsumoto, animation - Les fans de la série télé des années 1978-1985, aujourd’hui trentenaires et quadragénaires sont les principaux destinataires de cette adaptation du manga culte en images de synthèse et 3D.
1er janvier
« Nymphomaniac - volume I », de Lars von Trier - En huit chapitres et deux films de 2 heures (sortie du volume II le 29 janvier), le parcours érotique, de la naissance jusqu’à 50 ans, d’une femme qui s’est autodiagnostiquée nymphomane (Charlotte Gainsbourg). Il existe une autre version du film, de 5 heures et demi, celle voulue par le réalisateur et qui comporte des gros plans de parties génitales très explicites ; elle sortira plus tard « dans les pays où les lois sur la censure le permettent », indique la production.
« Old Boy », de Spike Lee, thriller - Avec Josh Brolin et Samuel L. Jackson, une fable macabre qui revisite le manga à l’origine de l’impressionnant film coréen de Park Chan-wook : séquestré pendant vingt ans sans savoir pourquoi puis libéré, un homme part à la recherche d’explications.
« Fruitvale Station », premier film de Ryan Coogler, reconstitution - Le 1er janvier 2009, un jeune Noir de San Francisco (Michael B. Jordan) est tué par un policier qui, condamné à deux ans de prison, en sortira au bout de 11 mois. Le film raconte les 24 heures qui précèdent le drame.
« Jamais le premier soir », de Melissa Drigeard, comédie - Pour les actrices, Alexandra Lamy, Mélanie Doutey, Julie Ferrier, déchaînées dans le registre vie amoureuse en berne et recherche d’épanouissement personnel.
Et aussi
À la Cinémathèque de Paris, jusqu’au 23 février, un cycle consacré aux enfants des villes, tandis que le Forum des images s’intéresse jusqu’au 12 janvier aux monstres et monstruosités, avec entre autres un week-end Dr. Jekyll et Mr. Hyde (28 au 28 décembre) et un autre peuplé de vampires (5-6 janvier). À l’Institut Lumière, à Lyon, « Grand films sur grand écran » pour retrouver les joies du Cinémascope, du 26 décembre au 5 janvier.
Et toujours
Pour le cinéma et la vision du monde, « A Touch of Sin », la Chine qui souffre ; « The Immigrant », l’Amérique des nouvelles vies (difficiles).
Pour rire, « les Garçons et Guillaume, à table ! », parce que Guillaume Gallienne est doué ; « 9 mois ferme », parce qu’Albert Dupontel sait sortir des sentiers battus de la comédie et que la légèreté va bien à Sandrine Kiberlain ; « Casse-tête chinois », parce qu’on retrouve avec plaisir les personnages et les acteurs de « l’Auberge espagnole » et des « Poupées russes ».
Pour le spectaculaire et l’action@, « Hunger Games - L’embrasement », « Snowpiercer », « le Hobbit - la malédiction de Smug », « Gravity », les deux derniers en 3D.
Pour les enfants, « la Reine des neiges », parce que le savoir-faire de Disney, « Amazonia », pour le singe capucin et la forêt tropicale.
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