Les préservatifs sont bien sûr la base de la contraception mais leur taux d’échec contraceptif rend raisonnable d’associer une autre méthode contraceptive. L’association n’est pas sans danger car le virus augmente le risque infectieux par immunodépression chez les porteuses de DIU et le risque vasculaire d’hypertension artérielle pulmonaire et de vascularite sous EP. La prescription d’un EP nécessite de tout savoir sur la maladie en cours, ses traitements, l’état général et il est nécessaire de prendre l’avis de l’infectiologue. L’impact des progestatifs extra-digestifs (implant, injectable) paraît moindre.
VIH ET CONTRACEPTION
Publié le 30/11/2012
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Source : Le Généraliste: 2624
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