Elle passe par l’éducation du patient.
1- Bonne connaissance des situations à risque par le patient insulinotraité :
- réduction des apports glucidiques alimentaires (repas décalé ou sauté, anorexie, vomissements postprandiaux ;
- activité physique inhabituelle dans les heures précédentes
- erreur thérapeutique
2- Savoir repérer les manifestations cliniques précoces
3- Nécessité d’avoir en permanence un moyen de resucrage à disposition
4- Contrôler la glycémie au coucher et prendre une collation au besoin
5- Gérer l’activité physique par la réduction des doses d’insuline rapide avant effort et collation glucidique après exercice.
6- La non-perception des hypoglycémies par le patient impose de renforcer l’autosurveillance glycémique, de revoir à la hausse les objectifs glycémiques et d’optimiser les moyens d’injection de l’insuline pour éviter les hypoglycémies nocturnes.
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