« Est-il possible d’empêcher d’éternuer ? Il paraît qu’à la cour du roi d’Angleterre, où l’étiquette interdisait l’éternuement, on aretaît net le spasme débutant en se pinçant fortement le bout du nez et en le relevant énergiquement. Exécuté à temps, ce mouvement réussit assez bien. Mais ce n’est qu’un palliatif et mieux vaut tâcher de couper le rhume commençant.
Au Wellesley College, où l’on se pique de modernisme, l’administration tutélaire vient de faire édifier, pour les élèves, un “ sternulatorium ” où est expédiée d’office toute personne qui se sent des inquiétudes nasales. Ce “ sternulatorium ” comprnd une série de cabines entièrement closes où l’on fait arriver des vapeurs de formol mélangées d’eucalyptus. Le candidat au rhume y séjourne quelques instants et, en sortant de là, il est, paraît-il, complètement désinfecté, incapable d’éternuer ni de contaminer ses camarades. Voilà une invention qu’on ferait joliment bien d’appliquer dans le métro. »
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature