Vous avez la gentillesse de m’adresser votre revue où il est traité de la clause de conscience (Le Quotidien du 18 octobre 2018). « Faut-il supprimer la clause de conscience ? » est déjà en soi une phrase surréaliste dans le pays dit des droits de l’homme. La supprimer veut dire supprimer l’exercice de la liberté de conscience, ni plus, ni moins : les médecins ne sont pas destinés à intégrer une mentalité de gardiens de camp.
Après la militante du planning familial sur 5 colonnes, allez-vous nous servir celle de l’ADMD (Association pour le Droit de Mourir dans La Dignité, NDLR) ? Cette intrusion nauséabonde du militantisme anti-humain sous le faux nez de l’empathie me donnerait presque envie de compter les 12 années qui me séparent de la retraite.
NDLR : Ce courrier se réfère à notre rubrique «Débats» dans laquelle étaient présentées deux tribunes, l'une favorable à la suppression de la clause, l'autre plaidant au contraire pour son maintien. La rédaction
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