Plus de 60 % des répondantes ont déjà vécu des situations lesbophobes dans les sphères publique ou privée, et près de 20 % ont vécu ces situations dans les milieux médicaux. « Le fait d’avoir vécu des discriminations est corrélé à une perception négative de sa santé mentale et au fait de ne pas se sentir à l’aise avec son orientation sexuelle – deux variables qui influent grandement sur la qualité et la quantité des rapports, selon notre étude », affirme Coraline Delebarre.


Source : Le Quotidien du médecin: 9656