A PRES les pétitions, les cartes postales.
Le Comité de défense de la gynécologie médicale, qui a déjà recueilli un million et demi de signatures de soutien, lance une nouvelle campagne de mobilisation.
Avec cette opération intitulée « Une carte postale pour nos élus », les gynécologues médicaux mettent à la disposition des femmes, dans leurs cabinets ou aux sièges d'associations concernées, des cartes postales préimprimées. « Nous voulons : conserver le libre accès des femmes au gynécologue de leur choix, garanti dans les textes ; le rétablissement d'un diplôme spécifique autonome de gynécologie médicale », affirment ces cartes qui doivent être envoyées aux élus pour que ceux-ci soutiennent une proposition de loi déposée à l'Assemblée nationale et qui pérennise « l'existence à long terme de la spécialité ».
En dépit des gestes faits par le gouvernement - et en particulier l'instauration d'un diplôme d'études spécialisées de « gynécologie-obstétrique et gynécologie médicale » -, le Comité de défense de la gynécologie médicale continue de penser que « la grande majorité (des femmes) n'aura plus de gynécologue médical(e) dans 15 ans ».
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