Le personnel de la direction générale de la Santé (DGS) au ministère de la Solidarité entend poursuivre le mouvement engagé le 5 décembre « jusqu'à ce qu'on renforce sérieusement les moyens » de son administration. Pour le moment, les agents de la DGS n'assurent plus d'heures supplémentaires, ne rédigent plus de réponses aux questions écrites des parlementaires et ne répondent plus au téléphone une journée par semaine, sauf urgence (« le Quotidien » des 15 et 21 décembre). De nombreux soutiens les encouragent à rester sur le qui-vive.
Le personnel de la DGS reste sur le qui-vive
Publié le 08/01/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6830
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