Une étude sur les indicateurs de qualité dans la prise en charge du diabète de type 2 en médecine générale a montré qu’il existe une hétérogénéité très importante selon les pays. Ces indicateurs devraient être pourtant standardisés puisque les malades sont les mêmes d’un pays à l’autre. Rappelons qu’un indicateur de qualité est une mesure qui permet d’apprécier la prise en charge. « C’est, par exemple, la fréquence de réalisation d’examens complémentaires, ce peut être aussi la cible du résultat fixé en accord avec le patient », explique le Dr Didier Duhot (SFMG), co-auteur de l’étude. Après avoir réalisé une revue de la littérature internationale en soins primaires entre 2002 et 2012, il est apparu que la plupart des articles étaient issus des revues anglo-saxonnes. Parmi les indicateurs, la nécessité d’indiquer le résultat d’une HbA1c dans le dossier patient est annuelle dans certains pays et trimestrielle dans d’autres. Il y a donc nécessité de produire des indicateurs de qualité cohérents d’un pays à l’autre. « Cette étude nous a aussi permis de lister les indicateurs qui sont pratiqués dans le monde en routine, ce qui pourrait aider les pouvoirs publics à adapter ceux du ROSP », résume le Dr Duhot.
Diabète
Le bon indicateur
Publié le 06/09/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
« Quels sont les indicateurs utilisés pour apprécier la qualité des soins dans l’hyperglycémie du diabète de type 2 ? » Communications orales. Vendredi 28 juin 2013.
Diane Naouri (Paris VI)
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature