A PARIS
« Les Pays de la Loire »
Trois semaines durant, comme elle le fait chaque été à Avignon, la région des Pays de la Loire s'installe à Paris pour présenter un ensemble de spectacles du cru. C'est à l'Auditorium Saint-Germain que vous pourrez ainsi découvrir un éventail de la création avec, les 9 et 10 avril, « Quand je serai petit » de Gérard Potier et François Rollin ; les 17 et 18 avril, « Piano pièces pour l'il », théâtre musical de Catherine Verhelst et Hervé Tougeron ; « les Mandibules » de Louis Calaferte, mise en scène de Patrick Pelloquet les 2, 24, 25 avril.
Auditorium Saint-Germain-des-Prés, jusqu'au 25 avril, billetterie FNAC (08.92.68.36.22) ou sur place à partir de 19 h avant les spectacles.
EN BANLIEUE
« L'Eveil du printemps »
Wedekind continue de séduire metteurs en scène et acteurs et on le comprend. « L'Eveil du printemps », pièce toute d'alacrité et de cruauté, pièce dans laquelle deux mondes s'affrontent, celui de l'adolescence et celui des adultes, semble chaque fois d'une fraîcheur étonnante. Le temps passe, les temps changent, mais ne change pas la difficulté pour un jeune de renoncer aux verts paradis. C'est Paul Desveaux qui signe la mise en scène avec une troupe d'acteurs.
Théâtre de l'Aquarium à la Cartoucherie de Vincennes, à 20 h 30 du mardi au samedi, à 16 h 00 le dimanche. Jusqu'au 29 avril (01.43.74.99.61).
« La maison qui marchait vers le large »
Directeur du Centre dramatique national de la Réunion, Vincent Colin nous propose de découvrir une pièce de Carl de Souza. Fable qui parle de maisons qui glissent vraiment à cause de pluies torrentielles... La scène se passe à Maurice. Les personnages sont créoles, indiens, chinois, la langue est métisse. Une jolie façon d'approcher la culture et la pensée de ces lointaines contrées. En paroles, chants, musique. Et avec des acteurs venus d'horizons divers.
Théâtre de la Tempête, du mardi au vendredi à 20 h 30, sauf jeudi à 19 h 30 et le dimanche à 16 h. Jusqu'au 8 avril (01.43.28.36.36).
EN REGION
« L'Exaltation du labyrinthe »
Directeur du TNS, Stéphane Braunschweig met en scène une pièce qu'Olivier Py a écrite à sa demande, sur un thème de son choix. C'est la première fois que Stéphane Braunschweig aborde le répertoire contemporain. Dans une scénographie qu'il signe lui-même, il dirige la troupe du TNS parmi laquelle, Philippe Girard, Luc-Antoine Diquero, Marie-Christine Orry. Une histoire sombre de père et de fils. Comment s'hérite la culpabilité, telle pourrait être la question qui hante cette uvre grave dans laquelle un père qui a torturé pendant la guerre d'Algérie voit son fils se perdre. Une thématique très chrétienne, des images dérangeantes.
Théâtre national de Strasbourg, à 20 h 00 du mardi au samedi, jusqu'au 11 avril, relâche exceptionnelle le dimanche 8 avril (03.88.24.88.00).
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