Sanctionné
pour avoir divulgué dans un livre (« Le Grand secret ») la vérité sur la santé du président Mitterrand et non pour l’avoir maquillée dans ses bulletins de santé, le Dr Claude Gubler propose aujourd’hui de tirer les enseignements de sa « triste expérience » : « Il suffirait d’instituer un partage rigoureux des rôles : d’un côté, le médecin, chargé du suivi du président et qui communique à celui-ci et seulement à lui ses conclusions ; de l’autre, le président, auquel revient d’assumer publiquement la responsabilité de communiquer sur sa santé. Le bulletin de santé doit dès lors être signé du président et non plus de son médecin. »
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