L’épidémie actuelle en Arique de l’ouest provient probablement, d’après les analyses phylogénétique, d’un seul passage de l’animal - une chauve-sourisou un signe infecté par une chauve-souris à l’homme - probablment quelqu’un qui a dépecé de la viande de brousse ou qui en a mangé. Les 5 000 cas actuels viennent de la transmissiion d’homme à homme à partir de ce seul passage*. Des études montrent que le virus, depuis le début de l’épidémie a évolué au cours du temps à la faveur des mutations. « Ces mutations peuvent changer certaines protéines mais on ne sait si cela rend le virus plus ou moins infectieux, plus ou moins pathogènes. Personne actuellement n’est capable de dire cela », assure le Dr Nœl Tordo, reponsable de l’unité stratégies antivirales de l’Institut Pasteur. Et d’expliquer également : « Ce n’est pas ce n’est pas parce que la transmission est plus aisée que le virus est plus pathogène ».
La souche Zaïre responasble des d’Ebola République démocratique de Congo diffère de celle identifiée en Sierra Leone
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1