Plusieurs facteurs contribuent à la survenue des troubles respiratoires nocturnes. Comme une configuration anatomique particulière des voies aériennes supérieures pour laquelle une intervention chirurgicale peut être proposée avec des résultats satisfaisants. Une obésité, également, qui augmente l’incidence de SAHOS et entraîne des complications métaboliques (dyslipidémie, HTA, diabète de type 2). La sédentarité, cause de rétention hydrique dans les membres inférieurs et facteur d’oedème pharyngé et d’arrêt de la respiration au cours du sommeil lors du passage en décubitus la nuit, peut également être en cause.
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1
Handicap sévère et adolescence : une délicate transition à anticiper