Alors qu’elle pèse de plus en plus lourd en terme de santé publique, d’une manière générale, et à plus fort degré chez le diabétique, « l’insuffisance cardiaque est le parent pauvre de la cardiologie », regrette le Pr Penfornis. De fait, les recos européennes en cardiologie sont centrées sur les évènements ischémiques tandis que celles sur le diabète aborde généralement le sujet en quelques lignes. Et si la FDA et l’EMEA imposent désormais que l’IC soit prise en compte dans l'évaluation de la sécurité cardiovasculaire des antidiabétiques, paradoxalement, « elle est la grande oubliée des essais de morbi-mortalité où le critère cardio-vasculaire principal MACE (AVC, IDM non fatals, décès cardio-vasculaire) ne l’inclut jamais », a souligné le Dr John McMurray (Glasgow, UK) à l’EASD. Un bon point tout de même : les dernières recos ESC-EASD consacrent tout un chapitre à l’IC du diabétique.
Grands essais
L’insuffisance cardiaque, parent pauvre
Publié le 18/10/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Article précédent
Des recos spécifiques
À chacun son risque
Néphropathie et antidiabétiques
Du danger des sulfamides en première intention
Des recos spécifiques
L’insuffisance cardiaque, parent pauvre
Cancer colorectal chez les plus de 70 ans : quels bénéfices à une prise en charge gériatrique en périopératoire ?
Un traitement court de 6 ou 9 mois efficace contre la tuberculose multirésistante
Regret post-vasectomie : la vasovasostomie, une alternative à l’AMP
Vers un plan Maladies rénales ? Le think tank UC2m met en avant le dépistage précoce