« Il n’y a aucune raison de refuser des soins dentaires à un patient sous prétexte qu’il est sous bisphosphonates. À partir du moment où l’on ne touche pas l’os, il n’y a pas de risque de créer une souffrance muqueuse ou une ostéochimionécrose par ces soins dentaires, insiste le Dr Ruhin. Il leur est ainsi possible de faire réaliser un détartrage, des soins de carie, une dévitalisation dentaire par soin endocanalaire, la pose d’un bridge ou la réalisation et mise en place d’une prothèse (de préférence sur une base molle atraumatique). En revanche, tout geste à contact osseux (avulsion dentaire, résection apicale, énucléation d’un kyste…) doit se faire dans un service hospitalier de Stomatologie au fait des complications aux bisphosphonates. »
Les soins dentaires de ville ne posent pas de soucis
Publié le 04/04/2013
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Source : Bilan spécialistes
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