On peut être en présence d’un épisode aigu. Auquel cas, on s’orientera en fonction des « bruits associés » vers une dyspnée laryngée (cornage), un asthme paroxystique ou l’exacerbation d’une BPCO (wheezing ou sibilants), un OAP ou une pneumopathie infectueuse (crépitants), un pneumothorax (asymétrie auscultatoire) ; sans oublier l’embolie pulmonaire et la tamponnade (absence de bruit anormal). En dehors de ce contexte aigu, il faut penser à vérifier le souffle des fumeurs, savoir évoquer un syndrome restrictif, penser à l’insuffisance cardiaque. Des situations méritent une oxygénothérapie à domicile. Enfin, la dyspnée de fin de vie doit être prise en charge dans le cadre de soins palliatifs.
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Dossier
LES DOSSIERS DU QUOTIDIEN-Dyspnées : à bout de souffle
Publié le 23/10/2012
