Selon les premiers résultats d’EPIPAGE-2, parus dans « JAMA Pediatrics », la proportion des enfants ayant survécu sans morbidité sévère a augmenté, en France, de 14 % en 15 ans chez les prématurés nés entre la 25e et la 29e semaine d’aménorrhée, et de 6 % pour les enfants nés entre la 30e et la 31e semaine. Cette étude a été menée sur près de 6 700 enfants prématurés, vivants ou morts, nés en 2011. Les auteurs notent que 94 % des enfants nés au bout de 27 à 31 semaines d’aménorrhée sont sortis vivants de la maternité, et que 81 % de ces survivants n’ont pas connu de morbidité grave. Par ailleurs, 59 % des enfants nés à 25 semaines d’aménorrhée et 75 % de ceux nés à 26 semaines ont survécu, avec des proportions de survivants sans pathologie grave de respectivement 30 et 48 %. Il n’y avait en revanche, pas d’évolution chez les plus grands prématurés nés avant 24 semaines.
Survie améliorée chez les grands prématurés sauf ceux nés avant 24 semaines
Publié le 02/02/2015
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9383
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