Les pandémies, telles que nous les connaissons, sont appelées à se reproduire. Celle d'aujourd'hui met en évidence les failles de l'organisation de notre société, en particulier concernant la concentration de l'habitat dans les villes, avec pour corollaire des transports en commun surchargés, l'un et l'autre facteurs de dissémination de germes pathogènes et entrave à la résolution d'une crise.
Le territoire français est vaste, et là où il est peu occupé la contamination est faible. Alors ne faudrait-il pas mettre fin à la concentration urbaine galopante et encourager le peuplement équilibré des régions sous peuplées, celles-ci étant alors convenablement aménagées (commerces, services, communications).
La santé, le bien-être et l'économie y trouveraient alors leur compte.
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