La contraception d'urgence (CU) fait l'objet d'un chapitre spécifique, avec notamment les interférences avec la contraception au long cours. Ainsi, chez les femmes utilisant une contraception hormonale au long cours, il n'est pas recommandé d'utiliser l'ulipristal acétate mais plutôt le lévonorgestrel, ou d'opter pour une contraception complémentaire durant les 12 jours suivant. Le risque d'échec de la CU est augmenté chez les femmes en surpoids ou obèses.
Contraception d’urgence
Par
Publié le 24/06/2019
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Bilan Spécialiste
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024