« C’est sûr la suppression de la recommandation sur la prise en charge du diabète de type 2 va avoir un impact sur ma pratique, explique le Dr Jean Lafortune (Paris). En tant que médecin généraliste je m’y réfère. Et ce d’autant plus que dans le cadre de ma fonction de généraliste enseignant à la faculté Pierre et Marie Curie elle me fournit les bases de mon enseignement. »
Il ajoute que dans l’immédiat il ne devrait rien modifier dans le suivi de ses patients diabétiques. À défaut d’autres bases, il ne peut que continuer à appliquer cette recommandation en attendant les nouvelles, prévues pour 2012.
« Je considère que c’est une bonne chose de tenir compte des conflits d’intérêt. Si cela avait été fait plus tôt il n’y aurait peut-être pas eu d’affaire Mediator ».
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