En l’absence de signe physique visible (les organes génitaux sont normaux), l’hypogonadisme hypogonadotrope isolé n’est pas repéré chez la petite fille avant la puberté, à moins d’une histoire familiale particulière, avec un des parents ayant eu le même problème et consultant l’endocrinologue d’emblée, pour avis. Les filles ayant un hypogonadisme central sont donc le plus souvent vues uniquement à la puberté et reçoivent alors un estroprogestatif. Fait rassurant, l’ovaire semble peu souffrir de l’absence de stimulation néonatale : il y a peu d’échec de grossesse.
Et chez la petite fille ?
Publié le 22/05/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Bilan spécialistes
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024