Dans des cancers ovariens en récidive, l’association de deux biothérapies ciblées, un anti angiogénique – le cedinarib , et un inhibiteur de PARP – l’olaparib –, permet d’améliorer la survie sans progression de plus de 8 mois, comparativement à une monothérapie par olaparib seul dans une étude de phase II.
Pour mémoire, c’est la première fois que ces deux types de thérapies ciblées sont associées dans un essai. Et manifestement, ça marche. Du moins dans les cancers ovariens, qui restent très délicats à traiter. Une étude de phase III doit donc démarrer très rapidement.
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