D’après le baromètre de l’AFSOS, seulement un tiers des patients interrogés a déjà entendu le terme « soins de support ». « Les patients ne savent pas forcément qu’il y a à leur disposition des soins qui vont les aider à affronter les effets adverses », explique Catherine Cerisey, patiente et célèbre blogueuse. Le Pr Ivan Krakowski, président de l’AFSOS et oncologue au Centre Alexis Vautrin de Nancy, ne dit pas autre chose : il faut d’après lui « sensibiliser les patients au fait qu’ils peuvent "réclamer" des soins de support ». Là aussi le rôle du médecin traitant considéré comme l’interlocuteur-clé en ville par 84 % des patients est essentiel.
Mieux informer les patients
Publié le 01/12/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9370
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