« Quand en tant que patient vous rentrez dans le service avec un abcès ou une gangrène, vous êtes rentable. Si on vous débouche les artères, vous êtes encore rentable. Mais si l'on n'arrive pas à les déboucher, vous n'êtes plus rentable du tout... Si par malchance vous vous retrouvez amputé, vous redevenez rentable quelques jours. Voilà où on en est avec la T2A. »
Pr Agnès Hartemann, cheffe du service diabétologie de la Pitié lors d'une conférence de presse des médecins démissionnaires, membres du Collectif inter-hôpitaux le 15 janvier dernier.
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
À la mémoire de notre consœur et amie