Pour nous, c’est assez compliqué de s’installer. Moi, j’ai envie de le faire car c’est plus intéressant d’avoir sa patientèle, mais, pour l’instant, j’attends un peu. Souvent on finit notre cursus par un SASPAS (Stage Ambulatoire en Soins Primaires en Autonomie Supervisée) avant de faire des remplacements pour se faire la main. L’installation demande en plus un investissement financier et ce n’est pas toujours simple. J’ai trouvé sinon que son discours était plutôt clair. »
*26 ans, 3e année d’internat, Rennes
Pas de surrisque pendant la grossesse, mais un taux d’infertilité élevé pour les femmes médecins
54 % des médecins femmes ont été victimes de violences sexistes et sexuelles, selon une enquête de l’Ordre
Installation : quand un cabinet éphémère séduit les jeunes praticiens
À l’AP-HM, dans l’attente du procès d’un psychiatre accusé de viols