Lors du traditionnel déjeuner de la Maison Blanche avec les journalistes politiques, le président américain a fait assaut de plaisanteries, critiquant notamment sur un mode badin le traitement dont il fait l’objet dans les médias de son pays. A propos de sa réforme de la couverture santé qui a connu tant de bugs, il a en revanche préféré user de l’autodérision.
Faisant référence aux nombreux problèmes informatiques qui ont marqué la mise en place du nouveau système d'assurance santé pour tous, réforme phare de sa présidence -qui a coûté sa place à la précédente secrétaire à la Santé- il a lancé, pince sans rire : "en 2008, mon slogan était Yes We Can! En 2013, mon slogan était Ctrl+Alt+Sup !".
Faisant référence aux nombreux problèmes informatiques qui ont marqué la mise en place du nouveau système d'assurance santé pour tous, réforme phare de sa présidence -qui a coûté sa place à la précédente secrétaire à la Santé- il a lancé, pince sans rire : "en 2008, mon slogan était Yes We Can! En 2013, mon slogan était Ctrl+Alt+Sup !".
Soins palliatifs : le gouvernement promet d’« intensifier les efforts » en 2025
Le CCNE invite la médecine à prendre ses responsabilités face aux vulnérabilités qu’elle crée
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents