« [La réforme de la protection sociale complémentaire pour la fonction publique hospitalière représentera un coût] de 600 millions d'euros par an, selon notre évaluation. Nos chiffres n'ont jamais été démentis et les établissements ne peuvent le financer sur leur budget. Cela représente une hausse de l'ordre de 0,3 % de l'Ondam. »
Benoît Fraslin, président de la Mutuelle nationale des hospitaliers (MNH) dans l'Argus de l'assurance.
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