"C'est moi le responsable. Nous avons raté le lancement de cette réforme". Barack Obama a fait jeudi amende honorable, disant avoir entendu les plaintes d'Américains dont les polices d'assurance maladie ont été résiliées. Lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche, le président américain a aussi reconnu que le lancement raté du volet central de sa réforme de l'assurance-maladie depuis début octobre avait provoqué une perte de confiance de ses administrés, et s'est dit déterminé à la regagner. La solution administrative annoncée par le président vise à permettre à des millions d'assurés actuels de conserver pendant encore un an leurs forfaits d'assurance, menacés de résiliation car ils ne répondaient pas aux nouveaux critères exigeants de la loi en terme de couverture. Les républicains, et de plus en plus de démocrates, réclamaient un changement pour que les Américains dont les forfaits d'assurance ont été annulés puissent les conserver en 2014, même s'ils ne répondent pas aux critères d'"Obamacare". "Je comprends à quel point une résiliation peut provoquer la détresse de nombreux Américains, en particulier après qu'ils m'eurent entendu dire que s'ils aimaient leur forfait, ils pouvaient le garder", a ajouté le président. "Et à ces Américains, je veux dire: je vous entends cinq sur cinq. J'ai dit que je ferais tout mon possible pour résoudre ce problème", a-t-il dit.
Obama s’excuse sur le lancement "raté" de son "Obamacare"
Publié le 15/11/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Le CCNE invite la médecine à prendre ses responsabilités face aux vulnérabilités qu’elle crée
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme