Pas sûr que ces explications aient suffi à convaincre les médecins, très remontés contre les propos et les décisions de l’ancienne ministre en mars. Mais Agnès Buzyn devrait aussi avoir à s’en expliquer, après les élections, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, qui doit débuter dans quelques jours, pour une durée de six mois. Elle a dit avoir « hâte » de s’exprimer devant cette commission et ne pas redouter un procès pénal. « J’ai ma conscience pour moi, je sais ce que j’ai fait. »