Olivier Véran a paru déterminé face aux sénateurs présents hier soir : « On doit bouger notre système de santé et on doit apprendre des erreurs du passé. »

Pour illustrer son propos, le ministre a pris l’exemple d’un patient souffrant d’une entorse à la cheville, lequel pourra avoir un accès direct au kinésithérapeute selon le texte de loi. « J’ai été médecin neurologue. J’ai prescrit des wagons de rééducation kiné sans savoir forcément mieux que le kiné à qui je prescris la rééducation ce qui était bon pour mon malade ».