Merci au Dr Santa Félibre d’avoir rapporté cette étude publiée dans le Jama (article de FMC du 24 mai, dans le n° 10028).
Le dépistage précoce ne modifie que peu la durée de vie versus celle obtenue par les progrès thérapeutiques lors d’un diagnostic classique de cancer.
Mais le dépistage précoce a un intérêt majeur en termes de désescalade thérapeutique, à survie égale, moins de chimiothérapie, de chirurgie agressive (mastectomie versus tumorectomie, amputation rectocolique versus colectomie simple…). Malheureusement, la désescalade possible n’est que peu pratiquée…
En pathologie mammaire, une publication confirmant que le dépistage précoce double les possibilités de traitement conservateur décuplerait l’adhésion des femmes au programme de mammographie régulière…
Vous souhaitez vous aussi commenter l'actualité de votre profession dans Le Quotidien du Médecin ?
Adressez vos contributions aurelie.dureuil@gpsante.fr
C’est vous qui le dites
« Augmenter les honoraires en zones sous-denses », une solution contre les déserts
Éditorial
Été 2025, le système est-il prêt ?
Quand la finance prend le pouvoir : Boeing et les hôpitaux, même chute programmée
Oui, c’est une rupture du pacte conventionnel