C’est une situation à laquelle les médecins pourraient être confrontés en cas d’adoption de la proposition de loi sur l’aide active à mourir, en discussion au parlement cette semaine. Le texte prévoit que les patients éligibles au « droit à l’aide active à mourir » puissent demander l’aide d’un soignant pour se faire administrer un produit létal. Les partisans de ce dispositif y voient un soin ultime prodigué par les médecins. Pas le Conseil de l’Ordre national qui s’est opposé encore récemment à ce que les médecins aient un rôle actif lors de la prise d’un produit létal.
L’aide à mourir relève-t-elle du soin ? Êtes-vous favorable à un droit à mourir ? Seriez-vous prêt à administrer un produit létal à un patient dans le cadre de la loi ? Faut-il instaurer explicitement une clause de conscience pour ces cas de figure ? À vous de débattre…
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