À Paris et en Île-de-France
Art brut avec les collections Stadshof à la Halle Saint-Pierre (jusqu’au 4 janvier) et Decharme à la Maison rouge (jusqu’au 18 janvier). Art contemporain au Centre Pompidou, la référence, avec Duchamp (jusqu’au 5 janvier), Jeff Koons, la société de consommation et le monde de l’enfance (jusqu’au 27 avril) ; et dans la nouvelle galerie de photos, le surréaliste Jacques-André Boiffard (jusqu’au 2 février). Abstraction sur toiles et dans les arts déco pour l’une de ses fondatrices, Sonia Delaunay, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris (jusqu’au 22 février). Architecture avec Frank Gehry, qui la révolutionne, à Pompidou (jusqu’au 26 janvier), et Viollet-Leduc, qui l’a réhabilitée, à la Cité de l’architecture (jusqu’au 9 mars).
Cristal de Baccarat, pour ses 250 ans, au Petit Palais (jusqu’au 4 janvier). Design, en chercher la source au Château de Versailles, dans le mobilier, de 1650 à la Révolution (jusqu’au 22 février). Érotisme à Orsay, avec l’influence sur les arts du marquis de Sade (jusqu’au 25 janvier). Grande Guerre vue du Front, à l’Hôtel des Invalides (jusqu’au 25 janvier).
Hokusai, inclassable, car il se renouvelle chaque fois qu’il change de nom, soit 7 fois, au Grand Palais (jusqu’au 18 janvier), avec Niki de Saint-Phalle, révoltée et joyeuse (jusqu’au 2 février).
Identité chinoise des Han, contemporains de l’empire romain, au musée Guimet (jusqu’au 1er mars). Inside, avec une vingtaine d’installations, une immersion qui modifie notre rapport aux mondes intérieurs et extérieurs, au Palais de Tokyo (jusqu’au 11 janvier). Impressionnistes, avec Paul Durand-Ruel, leur premier marchand, au musée du Luxembourg (jusqu’au 8 février), et l’épopée du tableau fondateur, « Impression soleil levant », de Monet, au musée Marmottan-Monet (jusqu’au 18 janvier). Mystères du Louvre, avec le vidéaste canadien Mark Lewis (jusqu’au 5 janvier) et le Maroc médiéval (jusqu’au 19 janvier).
Photos, les clichés de rue de l’Américain Garry Winogrand au Jeu de Paume (jusqu’au 8 février), et le regard de l’historien Michel Frizot sur sa collection de photos anonymes, une nouvelle tendance pour les collectionneurs, à la Maison européenne de la photographie (jusqu’au 25 janvier). Renaissance, en Italie, par ordre chronologique, Fra Angelico, Botticelli..., à Chantilly (jusqu’au 4 janvier) ; les Borgia, mécènes et fondateurs du népotisme, au musée Maillol (jusqu’au 15 février), et le Pérugin, maître de Raphael, au musée Jacquemart-André (jusqu’au 19 janvier). Saint Louis, 800 ans, à la Conciergerie (jusqu’au 11 janvier). Temps sans fin des Mayas au musée du quai Branly (jusqu’au 8 février).
En région
Antibes, les nus des dernières années de Nicolas de Staël (jusqu’au 4 janvier). Bordeaux, le design d’Andrea Branzi depuis 1966 (jusqu’au 25 janvier). Le Cateau-Cambrésis, Matisse, tapisseries inspirées de l’Océanie et papiers découpés (jusqu’au 8 mars). Clermont-Ferrand, les photos d’Éric Poitevin et son rapport à la peinture, animaux, forêts, portraits (jusqu’au 4 janvier). Grenoble, l’univers du sculpteur de l’arte povera Giuseppe Penone (jusqu’au 22 février). Lille, l’empire de Sésostris III tout puissant, il y a plus de 3 000 ans (jusqu’au 25 janvier). Lyon, le monde d’images de l’islandais Erro (jusqu’au 22 février) et les premiers déclics du photographe Marc Riboud (jusqu’au 21 février). Metz, les formes simples qui traversent les siècles au centre Pompidou (jusqu’au 5 janvier). Roubaix, les 150 ans de Camille Claudel (jusqu’au 8 février). Troyes, tapisseries de Chagall, de la palette au métier (jusqu’au 11 janvier). Toulouse, l’orientalisme de Benjamin-Constant (jusqu’au 4 janvier).
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