PARIS
L’épopée de la redécouverte des temples d’Angkor retracée en 250 œuvres autour de la figure de Louis Delaporte (1842-1925). Arrivé comme dessinateur dans la Mission d’exploration du Mékong de 1866-1868, il a un choc esthétique devant les monuments khmers, qu’il considère comme fondateurs. Les dessins et photographies rapportés lui assurent deux missions, qu’il dirige, en 1873 et en 1881-1882. Il en revient avec des sculptures originales, des relevés et des moulages qui, grâce à son acharnement et malgré le scepticisme ambiant, lui permettent d’ouvrir le premier musée khmer, à Compiègne (1875-1878). Les expositions universelles et coloniales vont créer un engouement pour ce nouvel art. Un musée indochinois est créé au Trocadéro (1881-1936), avant que les pièces n’arrivent à Guimet en 1927.
Musée Guimet, (tél. 01.56.52.53.00, www.guimet.fr), tous les jours sauf le mardi de 10 à 18 heures. Jusqu’au 13 janvier.
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