Art
Au musée d’Art moderne de Strasbourg, lumière et chromatisme pour deux créations de Daniel Buren, un mur de vitrail et un paysage architecturé, jusqu’au 4 janvier 2015. Au centre Pompidou-Metz, « Formes simples », le rôle de ces formes, préhistoriques ou naturelles, dans l’émergence de la modernité au XXe siècle, jusqu’au 5 novembre.
À La Piscine, à Roubaix, Amédée de la Patellière, un des représentants de l’art français des années 1920, jusqu’au 14 septembre. À Cassel, jusqu’au 7 septembre, la première rétrospective consacrée à Érasme Quellin, proche collaborateur de Rubens. Au musée du Touquet-Paris-Plage, Henri Le Sidaner, amoureux des paysages du nord, entre symbolisme et impressionnisme, jusqu’au 28 septembre.
Au musée des Beaux-Arts de Rouen, jusqu’au 31 août, le renouveau des cathédrales entre 1789 et 1914, valeur patrimoniale, religieuse et identitaire. Au Havre, les paysages de Nicolas de Staël entre abstraction et figuration, jusqu’au 9 novembre. À Kerguéhennec, jusqu’au 11 novembre, les chefs-d’œuvre de 50 ans de collection de la Fondation Maeght. Et à la fondation Leclerc de Landerneau, l’esprit subversif Jean Dubuffet, jusqu’au 2 novembre.
Dans la capitale
À Paris, au Louvre, les nouvelles salles XVIIIe rénovées et la préfiguration du nouveau Louvre Abu Dhabi, jusqu’au 28 juillet. À Orsay, Carpeaux, sculpteur du sourire et peintre du mouvement du second Empire jusqu’au 28 septembre Au Quai Branly, « Tatoueurs Tatoués », une évolution de la pratique à travers les siècles et les civilisations jusqu’au 18 octobre 2015. Au Petit Palais, jusqu’au 17 août, les fastes de Paris en 1900 à l’occasion de l’Exposition universelle. À la Cité de l’architecture, jusqu’au 8 septembre, les innovations techniques des architectes (Le Corbusier, Prouvé…) liées à la deuxième guerre mondiale. À la Pinacothèque, le mythe de Cléopâtre, héroïne ou femme fatale, qui a enflammé l’imaginaire des artistes, jusqu’au 7 septembre.
Pour l’art contemporain, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, pour la première fois, l’art très politique de l’Iran des 50 dernières années, jusqu’au 24 août. Au centre Pompidou, Martial Raysse, le pop français et ses créations récentes, jusqu’au 22 septembre. À la Maison rouge, jusqu’au 21 septembre, les 1 200 pièces de la collection de son fondateur, Antoine de Galbert. Au Palais de Tokyo, « All that falls », du mur de Berlin aux Twin Towers, ou comment les crises peuvent faire tomber les illusions, jusqu’au 7 septembre.
La Photo n’est pas en reste, avec, au Jeu de Paume jusqu’au 21 septembre, l’engagement et les contes visuels de la Hongroise Kati Horna et le Colombien Oscar Munoz sur la mémoire et la précarité. Au BAL, l’influence du cinéma sur la création de l’Américain Lewis Baltz, jusqu’au 24 août. Et, jusqu’au 16 septembre, au musée Rodin, le dialogue du sculpteur avec Mapplethorpe.
À Versailles, les monumentales sculptures d’acier du coréen Lee Ufan dialoguent avec les perspectives de Le Notre jusqu’au 22 novembre (et jusqu’au 26 octobre les relations avec la Chine au XVIIIe siècle, entre art et diplomatie).
La guerre
Les commémorations de la première guerre mondiale se poursuivent jusqu’au 11 novembre au LAM de Villeneuve d’Ascq avec les photos d’une centaine de survivants signées Éric Poitevin. Au Louvre-Lens, jusqu’au 6 octobre, « Les désastres de la guerre. 1800-2014 », une vision désenchantée des artistes depuis les guerres napoléoniennes. Au musée de la Grande Guerre de Meaux,jusqu’au 30 décembre, l’entrée en guerre de l’empire britannique en 1914. À Paris, à Carnavalet, « Paris libéré », jusqu’au 8 février.
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