SES SCÉNARIOS lui ont valu la célébrité : « Quatre mariages et un enterrement », « Coup de foudre à Notting Hill » et « Love Actually », le premier film qu’il a réalisé lui-même. On lui doit aussi les adaptations des aventures de Mister Bean et de Bridget Jones. S’il ne se limite pas à la comédie (il a co-écrit le scénario du « Cheval de guerre » avec Steven Spielberg), son humour décalé et tendre fait souvent merveille, équilibrant un regard légèrement désabusé sur l’existence.
Avec « Il était temps », ce natif de Nouvelle-Zélande au talent si britannique (il vit à Londres depuis plusieurs décennies) réussit à renouveler la comédie romantique avec une jolie idée : son jeune héros apprend de son père, lorsqu’il a 21 ans, qu’il peut voyager dans le temps, comme tous les hommes de la famille ; mais seulement pour retourner dans des scènes qu’il a vécues et en changer le cours. Tim ne s’en privera pas, surtout lorsqu’il rencontre une mignonne et fragile Américaine. D’où des séquences aussi amusantes qu’attendrissantes et quelques gags bienvenus. Au final, l’amour et le sens de la famille l’emportent sans surprise.
Des Cornouailles à Londres et retour, le temps passe agréablement, en compagnie de Domhnall Gleeson, Rachel McAdams et le toujours juste Bill Nighy.
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