- Privilégier les actions américaines.
- Sous-pondérer les actions d’Amérique Latine, d’Europe de l’Est et les matières premières.
- Sur-pondérer l'or.
- Sur-pondérer les emprunts d’état européens, les obligations convertibles et les obligations d’entreprises ayant des bilans rassurants.
- Réduire au moins momentanément les secteurs défensifs (biens de consommation non cycliques, santé, alimentation et boissons), qui se sont mieux tenus, en espérant réinvestir à moyen terme, pour profiter d'un repli.
- Réduire les secteurs les plus cycliques (à l’exception de la construction), même si, à chaque reprise technique, ceux-ci font l’objet de forts rebonds passagers.
- Réduire le secteur de l’assurance, où de nouvelles déceptions pourraient survenir (dépréciations d’actifs, augmentation de capital).
Missions, consultation et diagnostic, prescription : le projet Valletoux sur la profession infirmière inquiète (déjà) les médecins
Désert médical : une commune de l’Orne passe une annonce sur Leboncoin pour trouver un généraliste
Pratique libérale : la chirurgie en cabinet, sillon à creuser
Le déconventionnement tombe à l’eau ? Les médecins corses se tournent vers les députés pour se faire entendre