- Privilégier les actions américaines.
- Sous-pondérer les actions d’Amérique Latine, d’Europe de l’Est et les matières premières.
- Sur-pondérer l'or.
- Sur-pondérer les emprunts d’état européens, les obligations convertibles et les obligations d’entreprises ayant des bilans rassurants.
- Réduire au moins momentanément les secteurs défensifs (biens de consommation non cycliques, santé, alimentation et boissons), qui se sont mieux tenus, en espérant réinvestir à moyen terme, pour profiter d'un repli.
- Réduire les secteurs les plus cycliques (à l’exception de la construction), même si, à chaque reprise technique, ceux-ci font l’objet de forts rebonds passagers.
- Réduire le secteur de l’assurance, où de nouvelles déceptions pourraient survenir (dépréciations d’actifs, augmentation de capital).
Les maillages départementaux, échelons intermédiaires indispensables de l’attractivité médicale
L’obligation de solidarité territoriale pour les médecins effective « dès septembre », confirme Yannick Neuder
« Les syndicats sont nostalgiques de la médecine de papa », tacle Dominique Voynet, seule médecin ayant voté la loi Garot
Face à un tweet raciste d’un membre de Reconquête, des médecins de l’Oise portent plainte