Participation au SAS, retour des gardes obligatoires, créneau pour les soins non programmés… les pouvoirs publics entendent renforcer la permanence des soins ambulatoire sur le territoire à marche forcée. Au grand dam d’une partie des médecins libéraux.
Comment percevez-vous ces initiatives ? Quel est votre degré d’implication ? Quelles sont vos difficultés ? Pour le savoir, Le Quotidien du Médecin réalise une grande enquête en ligne sur le sujet à l’occasion du congrès CMGF (du 21 au 23 mars 2024). Merci de votre participation.
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique