Le nombre de PH a augmenté de 27 % depuis dix ans sans enrayer la progression du taux de vacance. En 2016, un quart des postes (26 %) de PH sont vacants, selon le CNG. La situation est particulièrement préoccupante en radiologie, oncologie médicale, médecine du travail, ophtalmologie, chirurgie urologique et anesthésie. Toutes disciplines confondues, 65 % des PH à temps plein devraient sortir du corps médical d’ici à 2030.
Padhue : Yannick Neuder promet de transformer les EVC en deux temps
Denis Thuriot (maire de Nevers) : « Je songe ouvrir une autre ligne aérienne pour les médecins libéraux »
À Niort, l’hôpital soigne aussi les maux de la planète
Embolie aux urgences psychiatriques : et maintenant, que fait-on ?