L’Auvergne se dote de deux IRM supplémentaires. L’un, implanté au CHU de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), sera partagé avec le Centre régional de lutte contre le cancer. L’autre, un IRM ostéoarticulaire, sera implanté au centre hospitalier d’Aurillac (Cantal).
Le parc auvergnat compte désormais 15 appareils.
« En Auvergne on constate une saturation des équipements lourds et les distances d’accès à ces équipements sont souvent importantes, a indiqué l’agence régionale de santé (ARS). Pour autant, il existe un risque que certains de ces équipements de proximité ne fonctionnent pas par manque de personnel nécessaire. »
56 jours d’attente en moyenne
En matière d’accès aux IRM, les délais d’attente en Auvergne sont supérieurs à la moyenne nationale (56 jours selon le dernier rapport Imagerie santé avenir (ISA) contre 38 jours en moyenne en France) et le taux d’équipements par rapport à la population est inférieur à la moyenne nationale, a également justifié l’ARS.
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