Selon une étude du Arlington medical research, les procédures d’IRM interventionnelle connaissent une véritable l’explosion en Europe. En neurologie, elles représentaient, en 2012, 52 % des actes, une croissance fortement liée aux maladies neurodégénératives et donc au vieillissement de la population. C’est cependant la cardiologie qui a connu la croissance la plus forte (+23 %), suivie de l’imagerie du sein (+14 %) ou du guidage IRM (+14 %). L’IRM corps entier a, elle, progressé de 12 %.
Une évolution qui n’est pas étonnante puisque dans le bilan d’extension de la majorité des cancers, l’IRM se montre plus précise que le scanner, qu’il s’agisse de la recherche de métastases hépatiques des cancers digestifs, de métastases cérébrales de cancers bronchiques ou de métastases osseuses de cancers du sein ou de la prostate.
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