Confusion autour des annonces de la direction du CHU de Grenoble : le recrutement de huit urgentistes « pourrait en partie se limiter à des embauches déjà prévues sur des postes vacants ou dans d’autres secteurs du pôle », selon le SNPHAR-E (Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs élargi), pour qui la sortie de crise n’est pas acquise.
Vingt-et-un des 23 urgentistes du CHU grenoblois ont menacé de démissionner pour dénoncer les conditions d’accueil des patients. Outre des créations de postes, ils réclament l’ouverture de lits d’aval pérennes et la création d’une nouvelle ligne de garde.
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