• Il n’y a pas de régime validé à préconiser de manière systématique. Le patient peut avoir de lui-même identifié des aliments déclenchants : il faut alors évaluer le risque de carence et se méfier des phénomènes de mode et des régimes « sauvages » (sans gluten, sans lactose…).
Éventuellement, on peut sensibiliser le patient à l’impact des aliments gras, qui ralentissent la vidange gastrique.
Selon les cas, on peut essayer une éviction temporaire des aliments acides (hypersensibilité duodénale), épicés (hypersensibilité viscérale), hypercaloriques ou riches en fibres.
• Tabagisme et alcool sont aggravants pour toutes les maladies causant une dyspepsie. Il est toujours judicieux de le mentionner et d’intervenir en ce sens.
• Devant une dyspepsie fonctionnelle, il faut bien prendre le temps de rassurer, et informer le patient sur la bénignité de ses symptômes : la cancérophobie – plus ou moins explicite – est fréquente.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
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