Chez les femmes qui ne sont pas ménopausées au moment du diagnostic d’un cancer du sein, la question de la contraception doit impérativement être abordée. Ce problème se pose pour toutes les patientes non ménopausées ayant été traitées pour cancer du sein sans qu’une aménorrhée définitive ne s’installe, soit 90 % des moins de 40 ans ou bien réglées antérieurement.
Les EP sont formellement contre-indiqués même si la preuve de leur nocivité n’a jamais été apportée. Sur les progestatifs l’unanimité n’est pas faite.
En pratique, la contraception après cancer du sein est volontiers un DIU au cuivre à placer tôt chez les patientes de moins de 40 ans, du fait d’un retour rapide de la fécondité après la fin d’une éventuelle chimiothérapie. La stérilisation a également une place de choix mais elle est rarement demandée.
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