Les interventions thérapeutiques non médicamenteuses sont complémentaires des traitements médicamenteux et ne s’y substituent aucunement. Elles visent à entretenir la mobilité rachidienne, la force musculaire, la forme physique générale, prévenir les déformations, conserver la capacité respiratoire et lutter contre la douleur.
En pratique, il s’agit d’exercices actifs et passifs (postures…) à domicile, en particulier d’auto-programmes quotidiens. Ces auto-exercices impliquent concrètement le patient dans la prise en charge de sa maladie, et la motivation doit être régulièrement soutenue.
› La balnéothérapie et les exercices supervisés, individuels ou en groupe, peuvent être proposés.
Le médecin généraliste doit alerter le patient sur le fait qu’en cas d’ankylose rachidienne, les techniques de manipulation vertébrale (ostéopathie…) sont contre-indiquées.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)