Ces messages agressifs sont super-rapides, ils atteignent très vite les victimes et sont instantanément relayés. Les messages sont impulsifs, rapides, non pensés, non formulés, avec des images filmées à la va-vite, souvent en cachette. Parfois ils sont plus « pensés » en groupe, pour mieux atteindre la victime
› La cyberviolence peut en effet revêtir différents modes d’expression, tel qu’envoi de messages injurieux, humiliants, de dénigrement (cyber-stalking,flaming, ...) mais aussi photoshopping, qui est la publication de photos de la victime transformées afin de l’humilier. Le « happy slapping » est la diffusion d’une agression filmée de la victime. Le « sexting » est l’envoi de messages, photos ou contenus à caractère sexuel [4].
› L’utilisation des réseaux sociaux augmente d’autant plus le taux de pénétration et de diffusion des images choquantes, humiliantes et violentes. Les commentaires ou les images excessives sont parfois destinés aux seuls « amis », alors que les jeunes ne perçoivent pas que la diffusion est largement plus étendue
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